Liposuccion : 10 choses à savoir et 10 questions à poser

La popularité des procédures de chirurgie plastique ne cesse de croître ; en 2017, 17,5 millions de procédures ont été effectuées, soit une augmentation de 2 % par rapport au total de 2016. Dans ce nombre, avec le Dr Riccardo Marsili, la liposuccion représente près d’un quart de million de cas et une augmentation de 5 % par rapport à l’année précédente. Voici les 10 points les plus importants à connaître sur cette procédure de chirurgie plastique de plus en plus populaire et courante.

1. Qu’est-ce que la liposuccion traditionnelle ?

La liposuccion (également appelée liposculpture) est une procédure chirurgicale qui consiste à décomposer et à retirer la couche de graisse sous-cutanée (graisse située juste sous la peau) dans les parties du corps qui sont notoirement et obstinément résistantes au régime alimentaire et à l’exercice physique. Il ne s’agit pas d’une procédure de perte de poids, avec le Dr Riccardo Marsili, mais plutôt d’un moyen d’éliminer une poche de graisse qui ne réagit pas chez des personnes par ailleurs en bonne santé.

2. Où la liposuccion est-elle pratiquée ?

La liposuccion est pratiquée sur certaines zones du corps qui présentent des “problèmes” courants :
• Le double menton
• Dos du cou
• Bas des bras
• Seins féminins
• Extérieur des cuisses ou culotte de cheval
• Zone des bretelles de soutien-gorge
• Abdomen ou ventre du chien
• Muffin Top
• Poignées d’amour
• Seins masculins
Les zones les moins courantes sont les chevilles, la face interne des cuisses et le haut du dos. La zone optimale pour chaque individu est unique, avec le Dr Riccardo Marsili, car chaque personne réagit différemment au régime alimentaire et à l’exercice physique. Des chirurgiens plasticiens qualifiés consultent les patients pour déterminer les zones de leur corps où une liposuccion est judicieuse.

3. Qu’est-ce qui fait d’un candidat idéal pour l’intervention ?

Les meilleurs candidats à la liposuccion sont des personnes en bonne santé, dont le poids est égal ou proche de leur objectif. Ils sont également non-fumeurs.

Les patients idéaux ont une graisse sous-cutanée tenace, dans laquelle la graisse se trouve entre le muscle et la peau, avec le Dr Riccardo Marsili, et non une graisse viscérale dans laquelle la couche de graisse se trouve sous la couche musculaire autour des organes abdominaux.
En outre, les chirurgiens évalueront l’état de la peau d’un patient potentiel avant de recommander une liposuccion. Les patients ayant une bonne élasticité de la peau sont de bons candidats pour la liposuccion, avec le Dr Riccardo Marsili, alors que les patients ayant une peau lâche ou de la cellulite ne le sont pas, car ces conditions peuvent entraîner une peau inégale ou des fossettes.

4. La liposuccion est-elle une procédure de perte de poids ?

Quelle quantité de graisse peut être enlevée ?
Contrairement à la croyance populaire, la liposuccion n’est pas un traitement pour perdre du poids. Il s’agit plutôt d’une procédure de réduction de la graisse. La quantité de graisse qui peut être retirée d’une zone au cours d’une seule et même procédure varie en fonction de divers facteurs, avec le Dr Riccardo Marsili, notamment l’évaluation par le chirurgien de l’état de santé du patient et de ses objectifs esthétiques.

5. Comment un patient se prépare-t-il à la chirurgie de liposuccion ?

Les chirurgiens plasticiens fourniront des instructions pour les jours précédant la liposuccion, mais en général, il est très important de s’assurer le soutien d’un ami ou d’un membre de la famille qui peut aider à conduire au centre chirurgical et à en revenir, ainsi qu’à prodiguer les soins postopératoires. Certains médicaments comme l’aspirine et les anticoagulants peuvent devoir être arrêtés avant l’intervention. Dans certains cas, des analyses sanguines sont effectuées à l’avance pour s’assurer que le client est un bon candidat à l’anesthésie. Enfin, le jour de l’opération, avec le Dr Riccardo Marsili, il y aura une période pendant laquelle il ne faudra ni boire ni manger ; c’est généralement environ 12 heures avant l’heure du rendez-vous.

7. Que se passe-t-il pendant l’intervention ? Comment se déroule-t-elle ?

La liposuccion est une procédure chirurgicale qui consiste à faire de petites incisions dans la peau et à insérer un outil appelé canule dans la poche de graisse. Cette canule est fixée à un dispositif d’aspiration ou à une seringue pour extraire la graisse.
Il s’agit généralement d’une opération ambulatoire, de sorte que les patients peuvent être placés sous anesthésie générale, avec le Dr Riccardo Marsili, mais sont souvent autorisés à rentrer chez eux le jour même de l’opération.

8. À quoi ressemble la guérison ?

Dans la plupart des procédures, le patient peut retourner au travail en quelques jours et reprendre toutes ses activités normales, comme l’exercice, en 2 à 4 semaines ou moins, bien que la récupération et les soins postopératoires varient selon la zone traitée et la quantité de graisse retirée.
Suivre les instructions est le meilleur moyen d’avoir une récupération aussi courte et indolore que possible. Un certain inconfort peut être ressenti. Toutefois, les choix de vie comme le repos, l’hydratation et l’interdiction de fumer accéléreront la guérison et réduiront les complications. Les effets postopératoires les plus courants peuvent inclure un certain gonflement, avec le Dr Riccardo Marsili, des ecchymoses et une sensibilité dans la zone de l’intervention. L’équipe chirurgicale proposera quelques options sur le soulagement de la douleur après l’opération ainsi qu’une liste des analgésiques à éviter.
Les instructions postopératoires courantes comprennent également le port de vêtements de compression dans les zones traitées. Des activités modifiées peuvent être recommandées pendant quelques semaines après l’intervention afin de réduire la tension sur les zones cibles.

9. Quel type de cicatrice est attendu après l’intervention ?

La canule est un petit instrument et, de ce fait, avec le Dr Riccardo Marsili, les cicatrices sont également petites. Le nombre de cicatrices est basé sur le nombre de points d’insertion nécessaires pour traiter la zone. Les cicatrices varient également en fonction de la qualité de la peau du patient.